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Blogosphère

La littérature québécoise

Vous ai-je déjà parlé de mon amour inconditionnel pour la littérature québécoise? Je ne sais pas exactement pourquoi la littérature d'ici m'interpelle à ce point, mais une chose est sûre, les mots de nos auteurs sont ceux qui peuvent le mieux m'arracher les sourires, les larmes et parfois même les tripes. Bref, elle sait m'émouvoir et me faire sentir en vie. J'étais au lancement de Mal élevé, nouveau roman de Stéphane Dompierre, hier soir. Je ne vous entretiendrai pas du dernier né de Stéphane, puisque je ne l'ai pas encore lu et je n'ai pas non plus de potins et de scandales à vous annoncer. Tout le monde a gardé ses vêtements.

Par contre, j'étais confortablement assis entre une bière et Geneviève Allard et je leur partageais ma toute dernière découverte littéraire québécoise: Les jambes de Steffi Graf du journaliste et auteur Pierre Cayouette. J'expliquais à quel point j'étais tombé amoureux de ses mots même si le sujet de son dernier roman ne me touche guère (l'histoire tourne autour des jours d'un nouveau retraité du corps enseignant). Mais bon, son bouquin est, à date, un vrai régal pour les yeux. Quelle ne fut donc pas ma surprise lorsqu'elle m'annonça (Geneviève, pas la bière) que Pierre Cayouette possédait également un blogue sur le site de l'Actualité! Je m'y suis donc précipité pour goûter une fois de plus à cette magnifique plume. Chanceux comme je suis, j'y ai découvert le même regard lucide sur l'être humain et la même verve dans ses textes. Vous dites que je suis vendu d'avance? Je crois que vous avez raison.

par Patrick Dion

Trouvailles du Web

par Carl Charest

Écrire

mercredi 26 septembre 2007

Le freak

On connaît peu le «freak», ici au Québec. Bien que certaines stations de télévisions aient tenté de mettre en valeur les gens étranges qui partagent notre existence, je crois que les seuls «freaks», qui nous sont possible de voir à la télé, sont ceux de Loft Story.

Pourtant chez nos voisins américains, le «freak» est à l'honneur surtout chez l'animateur Maury Povich. Nous sommes ici en présence des pires étranges que porte la nation américaine. Je m'amuse, lorsque j'ai la chance, en regardant une émission complète de Maury. Bien qu'elle soit probablement scénarisée, elle montre à quel point l'être humain peut être laid et innocent.

Mais bon, si vous ne me croyez pas, je vous laisse aller voir par vous-mêmes. En effet, le site Camel Tap dresse une liste des pires moments de l'émission. J'ai la certitude que comme moi, vous vous dilaterez la rate et que vous n'en reviendrez pas à quel point le pathétisme peut parfois être à l'honneur à la télévision américaine.

Une chance qu'il y avait les Sopranos pour compenser un petit peu.

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